Par Jalel Mestiri
L’histoire ne dit pas encore si l’objectif tracé pour la sélection depuis l’arrivée de Giresse et destiné à jouer les premiers rôles dans les épreuves continentales est susceptible d’être atteint, mais il nous semble que toute réalisation devrait forcément découler d’une certaine logique. Ce qui doit s’imposer, par conséquent, c’est un jeu à grosse dominante d’efficacité, de concrétisation, mais aussi de jeu structuré, fluide et plaisant à voir.
Le complexe de l’étranger est encore persistant et nous comprendrons les raisons pour lesquelles on opte sous la pression pour un entraîneur qui s’impose, d’abord, en sa qualité « d’étranger » (s’il n’est pas entretemps « tunisifié » tels que certains l’ont été), ensuite par ses connaissances qui sont souvent assez respectables pour nombre d’entre eux, et, enfin, par sa personnalité, ce qui lui permet de résister aux intimidations de la rue et aux dirigeants souvent à la recherche d’un fusible providentiel.
Depuis qu’il exerce en Tunisie, depuis 12 ans déjà, où il réside également avec sa famille, c’est l’entraîneur français qui connaît mieux que quiconque le football tunisien. Nous avons demandé son avis sur la question.
«A l’instar de ses homologues allemande, anglaise, hollandaise et espagnole, l’école française est considérée comme l’une des meilleures au monde. Pour atteindre ce standing, l’Etat français a beaucoup investi dans le football (infrastructure solide et centres de formation à gogo). Cette réussite exemplaire trouve ses origines dans la qualité de la formation des entraîneurs et des joueurs qui ne cessent de s’imposer partout dans le monde avec au passage la réussite escomptée.
Le mérite des entraîneurs français et de leur modèle technique c’est qu’il allie détection de talents, performance et qualité d’instruction.
Depuis un certain but assassin de Kostadinov en 1993 et l’incroyable élimination du Mondial 94, le football français a pris une autre tournure qui lui a permis, 4 ans plus tard, de remporter le Mondial.
… souligne l’ex-pivot de l’Espérance qui estime que la compétence est primordiale pour n’importe quel entraîneur.
«Il y a quelques années, les entraîneurs français ont dominé le monde, on les retrouve en Chine, au Qatar au Maroc, en Algérie, en Angleterre et en Tunisie, ce fut une révolution sur le continent africain qui malgré, les fracas de la colonisation, continue d’avoir les yeux de Chimène pour la France.
«Rares sont les clubs tunisiens qui ont engagé des entraîneurs français réputés. Il ne faut pas lésiner sur les moyens pour réussir. Donc, il faut viser haut et enrôler les meilleurs. Et encore, une fois recruté, le coach français doit savoir se comporter avec les joueurs et les responsables du club. Roger Lemerre est le prototype même du coach engagé et compétent.
«Par le passé, nous avons tiré profit des entraîneurs étrangers à différentes époques. Après les Yougoslaves au cours des années 70 et 80, les Français ont laissé leurs marques et leurs traces chez nous. Actuellement, les Français sont dans les meilleurs coups, partout dans le monde.
«Je garde de très bons souvenirs d’Exbrayat qui a fait du beau travail au Club Africain. C’était un véritable meneur d’hommes.
Il était méthodique et travaillait à plein temps. Il supervisait même les entraînements des jeunes. C’est ainsi qu’il a réussi, d’autant que le club lui a fourni tout ce qu’il réclamait. Néanmoins, il a radicalement changé lors de sa deuxième saison. Un autre français a réussi au CA. Il s’agit de Daniel Sanchez, réputé pour son savoir-faire.
« Le sélectionneur national est le pourvoyeur de la stratégie de la sélection pour l’avenir et pour les prochaines échéances. Nous ne possédons pas de stars ou de grands noms. Notre réussite est le fruit de la continuité et de la bonne gestion du groupe. Les éléments ont besoin d’une stratégie de travail avant les prochaines échéances.
«Je crois qu’à part trois entraîneurs, à savoir Lemerre, Séraphin et Exbrayat, tous les autres entraîneurs français ayant exercé chez nous n’ont pas donné satisfaction. Les Henri Michel à la tête de l’équipe nationale, Sanchez au CA, Buscher dans trois ou quatre clubs, Desabre à l’EST, et beaucoup d’autres ont déçu.
«Les techniciens français connaissent la mentalité du joueur local sur le bout des doigts».
«Il ne fait aucun doute que l’école française est l’une des meilleures au monde. Ses performances sont là pour le prouver. La France a gagné la Coupe du monde et l’Euro.
Des coachs performants ont veillé sur les destinées des Tricolores tels que Michel Hidalgo, Michel Platini, Roger Lemerre, Jacques Santini, Raymond Domenech et actuellement Didier Deschamps».
Pari sur les jeunes, sens de la communication et goût de la perfection : trois
caractéristiques - clés d’une école française qui s’impose de plus en plus.
Roger Lemerre possède le meilleur palmarès des techniciens français travaillant actuellement en Tunisie. Entraîneur adjoint d’Aimé Jacquet, qui a remporté avec les Bleus la première Coupe du monde de l’histoire du football français en 1998, puis sélectionneur de l’équipe de France champion d’Europe en 2000 et vainqueur de la Coupe des confédération en 2001.
Chaque fois que la France est consacrée championne du monde, c'est une aubaine pour ses entraîneurs qui voient grimper leur cote.
«Les chiffres sont révélateurs: chaque fois que la France est sacrée championne du monde, le nombre d’entraîneurs français exerçant à l’étranger atteint son pic. C’était le cas après l’épopée de 1998. C’était aussi vrai après la dernière consécration à la Coupe du Monde de Russie.
… affirme l’ex-milieu clubiste qui estime que l’école française s’affirme de plus en plus en championnat.
«Les entraîneurs français jouissent d’une excellente réputation, à l’instar de Domergue Lemerre, Giresse, Serafin, Zvunka… Certes, il y a eu quelques années, cette donne a changé, vue que les entraîneurs tunisiens prenaient le dessus.
L’ex-avant du CSS estime que le bilan des Français est globalement mitigé.
«L’école française cadre généralement avec les spécificités de notre football. Dans l’ensemble, il faut dire que les Français ont réussi en Tunisie grâce à une communication fluide et une bonne répétition des joueurs, volet discours tenu. D’ailleurs, l’exploit réalisé par l’équipe nationale a été signé sous le commandement de Roger Lemerre. La Coupe d’Afrique des Nations en 2004 a révélé la méthode française, volet management et encadrement de groupe.
« Seuls les entraîneurs français de haut niveau ont forcément réussi en Tunisie. Je cite à titre d’exemple Jean Fernandez à l’ESS et Roger Lemerre à l’EST, en sélection et à l’ESS aussi.
Ils sont compétents, méthodiques et exigeants. Ils forcent le respect et c’est normal. Par contre, il y a d’autres entraîneurs français ayant exercé chez nous sans aucune référence.
Ils se font manipuler par leur exécutif et ne marquent pas leur territoire ».
«Connus pour leur discipline et leur sens de formation, les entraîneurs français sont de retour en Afrique et au Maghreb. Les meilleures équipes algériennes et marocaines sont entraînées par des techniciens français. Ils sont perfectionnistes, dévoués et imposent la discipline.
«Les techniciens français sont de vrais professionnels qui forcent le respect. Je connais assez bien Roger Lemerre pour l’avoir battu en tant que joueur avec le CAB quand il entraînait l’EST dans les années 80. C’est un entraîneur respectueux des joueurs et qui sait bien encadrer le groupe qu’il a sous sa la main.
«Je me rappelle très bien René Exbrayat qui, à mon sens, a réussi sa mission au CA grâce à son sérieux, sa compétence et son comportement avec les joueurs. Il était toujours en contact permanent avec ses poulains. Aussi, il s’occupait de l’intendance parfois et assurait le suivi des doléances des joueurs auprès de l’administration. Bref, il maîtrisait son sujet et savait comment gérer des éléments doués et talentueux.
Quoiqu’il faille toujours composer avec les imprévus et les rebondissements en football, on peut quand même avancer que l’Espérance a réussi l’essentiel en Algérie, en allant s’imposer avec mérite devant le CSConstantine. Seulement, il faudra terminer le travail ce samedi.
Incorporé en cours de jeu, Habib Oueslati a inscrit en fin de partie un but qui a son pesant d’or en prévision de la manche retour.
Stade de Nkana, Kitwe. Pelouse en mauvais état. Temps chaud. Public assez nombreux. Nkana FC bat CSS : 2-1. (1-0 à la mi-temps). Buts de Kelvin Kampamba (37’) et Freddy Tshimenga (52’) pour Nkana FC, Oueslati (84’) pour le CSS. Arbitrage du Seychellois Bernard Camille.
Nkana FC : Malunga, Musonda, Mohammed, Bahn, Kessy, Malambo (Ngulube 76’), Tshimenga (Mbewe 71’), K. Kampamba, Otieno, R. Kampamba et Bwalya (Musonda 62’).
CSS : Dahmen, Mathlouthi, Amamou, Dagdoug, Zouaghi, Jelassi, Sokari, Harzi, Ben Ali (Oueslati 52’), Korichi (Zammouri 72’) et Chaouat.
Les Cabistes continuent à être méconnaissables...
Stade 15-Octobre, temps frai, pelouse glissante, assistance faible, arbitrage de Mehrez Melki, l’ UST bat le CAB 2 buts à 1, mi-temps (0 -2)
Buts de Bétigué (7 ‘) et Khraifi (17’) pour l’UST et Darragi (64‘s.p) pour le CAB
CAB : Kh. Thamri, Habib Yeken, Lyès Dridi, Seddik Méjri, Marwène Khalfaoui, Darragi, Fédi Ben Choug, H. Habbassi, Oussama Amdouni, Youssofa, Traoré (Saidi 65 ‘)
UST : Wael Kordi, Mhamdi, Mhadhebi , Malek Miladi, Alex, Khalfa, Abidi, Messai, Foued Khraifi (Abdessalem 70‘), Zakkar (Kamargi 80‘), Bétiguè
Plus forts techniquement et tactiquement, les Etoilés prennent option avant le match retour
Stade olympique de Sousse. ESS-Al Hilal : 3-1 (mi-temps 2-0). Pelouse en bon état. Public nombreux. Temps froid. Arbitrage marocain R. Jyed. Buts marqués pour l’ESS par Boughattas (24’) et par Chikhaoui (32’ et 80’ sur penalty) et pour Al Hilal par Alakhir (59’). Avertissements : Brahim, Emanuel
ESS : Bdiri, Radaoui, Boughattas, Ben Aziza, Jmel (Konaté), Aouadi, Ben Amor (Belarbi), Chikhaoui (Methanni), Hanachi, M’sakni, Hadj Hassen
Al Hilal : Magola, Abuagua, Diarra, Omer (Emanuel), M’bombo, Nasrelon, Brahim, Morsal (Alakhir), Abdellatif, Waleed, Shiboub (Musa)
La victoire face au ST est tombée à pic.
Les Aghlabides ont remporté une victoire importante face au ST (1-0) grâce à des joueurs aguerris malgré la bonne prestation de l’équipe visiteuse. Ce n’était pas une mince affaire pour le staff technique qui a su user de toute sa force de persuasion pour dissiper le doute qui commençait à s’installer dans le groupe et pour retaper à neuf le moral des joueurs après l’élimination en Coupe de Tunisie face à l’US Bousalem.
Il joua son premier match sous les couleurs cabistes contre l’OB, match qui a coïncidé avec l’inauguration du Stade 15-Octobre. Son intégration dans le groupe a été rapide, facilitée il est vrai par la bonne ambiance qui régnait au sein du CAB. Il y avait Mourad Gharbi, Ahmed Souissi, Hosni Zouaoui, Chokri Béjaoui, Mohamed Khan qui venait de débarquer à Bizerte, Mondher Almia, Jamel Aroua, Hmaied Romdhana, Adel Smirani, etc.
Par Kamel GHATTAS
Dans les lois régissant les relations humaines, il y en a une qui nous interpelle par les temps qui courent. C’est celle qui nous rappelle que « lorsque vous grimpez les marches d’une échelle, il faudrait toujours regarder ceux qui sont restés en bas. Parce que vous risquez souvent de les revoir en redescendant ».
Leader incontesté du groupe A après avoir battu les Marsois à la régulière, l’AS Soliman n’a qu’à aussi bien négocier les deux matches restants de la saison pour accéder en Ligue 1.
Vendredi dernier, tous les regards des assidus de la Ligue 2 étaient tournés vers le Stade Abdelaziz Chtioui. L’enjeu était de taille : un match opposait dans l’après-midi les co-leaders du groupe A et la victoire était synonyme d’un grand pas vers l’accession.
Saber Khelifa a récemment marqué son premier but au championnat des Emirats Arabes Unis. Le Tunisien a inscrit le premier but de l’Emirates Club dans le duel qui l’a opposé à Bani Yas.
La formation du Tunisien a perdu cette rencontre disputée à domicile sur le score de trois buts à deux.
L’arrière gauche de l’Equipe nationale olympique, Mohamed Amine Hamrouni, a avoué que la tâche des Aigles de Carthage ne fut pas facile devant un adversaire qui était bien en jambes. Le joueur du Stade Gabésien a évoqué, également, la situation de son club en Ligue 1.
Il y a de ces épreuves qui ne se gagnent pas seulement par les plus forts, mais aussi et surtout par les plus déterminés, les plus avertis. Échapper aux choses ordinaires? Oui, par l’action. Par le savoir-faire. Dans ce genre de rendez-vous, ce n’est pas uniquement le jeu qui fait les victoires, c’est également l’usage que l’on en fait. Il y a ainsi des valeurs, conditionnées, qui marquent leur temps, donnent à leur époque leurs lettres de noblesse, favorisent les réussites et façonnent leur interprétation.
Sans Ons Jabeur et probablement Malek Jaziri, ces deux tournois misent sur les joueurs tunisiens émergents et qui cherchent des points et de l’expérience.
Du pur tennis et des matches de haut niveau meubleront ces deux semaines au TCTunis. C’est le rendez-vous annuel avec le «Nana Trophy» (25.000 dollars, en plus de l’hospitalité, une nouveauté), dont le tableau final commence demain, et le Tunis Open (50.000 dollars) qui lui succédera, c’est-à-dire du 8 au 14 avril.
Les choses commencent à s’éclaircir. Les équipes qualifiées (quatre de chaque poule) pour la deuxième phase du championnat sont presque connues. En poule «A», La Marsa sans fournir le moindre effort a regagné son poste de leader. Son adversaire Yaris a déclaré forfait et Red Wolf, leader, avant cette journée, s’est contenté du nul face à Mornag (1-1). Les deux autres équipes du peloton de tête, à savoir Tonja et Al Mawani, ont gagné.
Aprés avoir remporté une médaille de bronze au javelot, Nada Chroudi s’est mise en évidence en glanant la médaille d’or de l’heptathlon.
Nada Chroudi s’est distinguée dans les courses du 100 m haies et 200 m. Outre ces deux courses, notre championne s’est illustrée dans les épreuves de lancers, à savoir le poids et le javelot. Elle a ramassé dans les deux épreuves 1.476 points :
Les Etoilés doivent prendre option ce soir avant le déplacement à Khartoum.
L’équipe étoilée continue à se mettre en évidence à chacune de ses sorties en Coupe, en championnat et en Coupe de la CAF. Lemerre exige de ses joueurs de donner encore plus, même s’ils se sont surpassés.
Les Cabistes sont appelés à une réaction après la déception en Supercoupe de Tunisie.
Il n’est plus question de perdre le moindre point à domicile sous peine de se retrouver largement distancé par le groupe de tête.
En recevant l’ UST, le CAB se trouve donc acculé à gagner et, surtout, à effacer la dernière défaite subie face à l’EST à Doha, lors de la Supercoupe de Tunisie.
Victorieux en Coupe de Tunisie face au ST, le CSS devra forcément enchaîner aujourd’hui face aux Zambiens de Nkana en C3.
En confiance après son passage aux quarts de finale de la Coupe de Tunisie, le Club Sportif Sfaxien retrouve cet après-midi (14h00) la compétition continentale en défiant les Zambiens de Nkana pour le compte de la première manche des quarts de finale de la Coupe de la CAF. En effet, les Sfaxiens ont finalement réussi à chasser le signe indien après leur dernière réussite en Coupe de Tunisie. Ils ont donc essayé de surfer sur cette vague pour persévérer.
Face à un adversaire plus concerné par le résultat, contraint à faire le jeu et à se découvrir, les «Rouge et Bleu» ont la possibilité de créer la surprise à Bizerte même et de rentrer avec les trois points.
L’Etoile s’amuse et gagne par… 31 buts d’écart !
Pour son match d’ouverture disputé, avant-hier, à Oujda (Maroc) dans le cadre de la 35e édition de la Coupe d’Afrique des clubs vainqueurs de coupe, l’Etoile Sportive du Sahel a terrassé l’équipe guinéenne de Horia Conakry sur le score fleuve de, tenez-vous bien, 55-24, soit 31 buts d’écart ! Il n’y a pas eu photo :
La Chabiba a glané une victoire importante grâce à la forme des joueurs face à des stadistes en mal de solutions
Stade Hamda Laouani. Beau temps puis pluvieux. Pelouse en bon état. Public assez nombreux. JSK- ST (1 - 0). But de Sassi (50’ SP) . Arbitrage de Salim Belakhouass
JSK : Khalfaoui, Bouchniba, Dahnous, Layouni, Harbi, T. Junior, Traoré, Frioui, Laâouichi (Métiri), Bouguerra (Sassi), Salhi (Romdhani).
ST : Amdouni, Hammami, Ellefi, Rayen Khemaies, Mihoubi, Hadda, Chikhaoui, Ben Khemaies, Lussuku (Oubassi), Sfaxi (Mèjri), Benza.
Face à un CSHL brouillon et amorphe, l’USM a encore fait étalage de sa maîtrise tactique pour signer une victoire très précieuse
Stade municipal d’Hammam-Lif. CSHL-USM : 0-1 (mi-temps 0-1). Pelouse en bon état. Public assez nombreux. Temps froid et venteux. Arbitrage de Hatem Ben Ammar, but marqué pour l’USM par Zouhaïer (43’).
CSHL : Gasmi, Meskini, Zarrouk, Ouni (Kanzari), Mabrouk, Aboud (Koukabou), Massamba, Bouzid (Ben Salem), Khaoui, Koudai, Sangare.
USM : Jrad, Machmoum, Zouhaïer, Sdiri (Hichri), Omrane, Ben Romdhane, Chtioui, Jelassi, Kabou, Ali Amri (Langolama), Y. Amri (Sabbahi)
Par Jalel Mestiri
L’éducation sportive n’a de sens que dans les leçons retenues. Ce qui se conçoit actuellement en équipe nationale doit prendre en considération ce qui a été entrepris dans le passé. Dans les réussites, tout comme dans les échecs. C’est toute la politique et les stratégies sportives qui ont besoin aujourd’hui d’être réformées. Des principes et des valeurs à restaurer. Des pistes à creuser. Des sillons à revisiter.
Dans les tours avancés de la Ligue des champions, c’est souvent le résultat positif en déplacement qui influe directement sur la qualification. Les coéquipiers de Yassine Khénissi en sont parfaitement persuadés.
Bien qu’ils aient encaissé un but trop tôt, Ahmed Fazzani et ses camarades ont vite réagi. Ils ont remporté une précieuse victoire et les trois points ramenés de La Marsa leur permettent de distancer largement leurs concurrents sur le chemin menant à la Ligue 1
Les Aghlabides doivent garder la concentration face à des Stadistes difficiles à manier.
D’une semaine à l’autre, la Chabiba alterne le bon et le moins bon. Cette irrégularité qui l’a caractérisée depuis l’entame de la saison lui a fait perdre de nombreux points. L’élimination dans le cadre de la Coupe face à l’US Bousalem a provoqué les soucis des dirigeants et la colère des supporters.
Face à l’USM, les banlieusards sont déterminés à confirmer leur élan pour quitter la zone d’urgence.
On ne doit plus laisser filer le moindre point à la maison! C’est le mot d’ordre des «Verts» en cette période délicate de la saison. Distancés de deux points par leurs adversaires du jour, les camarades de Aboud sont tenus de gagner cet après-midi face à une équipe monastirienne très en verve depuis plusieurs journées.
Battu par CSS, le ST doit redresser la barre et stopper l’hémorragie lors de son déplacement à Kairouan.
Éliminés, mardi dernier, en huitièmes de finale de la Coupe de Tunisie face au Club Sportif Sfaxien (2-1) lors d’un match complètement fou, Les “Rouge et vert” vont défier, cet après-midi au stade Hamda Laouani, la JSK, dans un match comptant pour la 18e journée de la Ligue 1.
Le moral au beau fixe après leur qualification aux quarts de finale de la coupe, les «Bleus» sont supermotivés pour continuer sur leur lancée.
Tout baigne dans l’huile pour l’USM depuis la reprise, la bande à Dridi, complètement métamorphosée, a réussi à ramasser dix points sur douze possibles. Une réussite tant attendue et qui a non seulement permis au club du Ribat de faire une remontée au classement, mais susceptible de pousser davantage les joueurs à confirmer leur retour en force après une première phase catastrophique. T
Le maillot de l’attaquant du Club Sportif Sfaxien Firas Chawat a été vendu aux enchères récemment. Cette vente a rapporté la somme de 3500 dinars. Ce montant va être versé à une association qui s’occupe de la scolarisation des enfants malvoyants à Sfax.
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